, À la rencontre de… Christel Chevalier, professeure de danse orientale

Quel est votre premier souvenir de danse ?

Ce sont mes cours avec Mireille dans mon petit village, à Treillières. C’est en banlieue de Nantes. J’avais 5 ans et on pratiquait le modern jazz. On se retrouvait dans la salle municipale où on apprenait sans miroir et sur du carrelage froid.

Quel est votre modèle ?

J’adore ma professeure de danse orientale, Imayane. C’est une professeure de Lyon, ce n’est pas une référence internationale mais c’en est une pour moi. Et, en contemporain, je citerais Ohad Naharin. C’est vraiment super ce qu’il fait. Après, je me laisse surtout bercer par l’émotion du moment et par ce que représente une personne lors d’une mise en scène.

Quel moment rêvez-vous de vivre via la danse ?

En fait, je vis des moments géniaux tout au long de l’année en faisant des spectacles sur scène. Et je ne me sens jamais aussi bien que quand je suis sur scène. Ça peut paraître simple, mais c’est ce que j’aime.

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