, Danse et communication non violente : à la rencontre d’une artiste protéiforme à Ambert

Myriam Gissinger, à Ambert dans le Puy-de-Dôme, multiplie les formes d’expression artistique. Danseuse depuis l’enfance, elle a bien plus d’une corde à son arc et œuvre avec toujours autant d’énergie et de plaisir dans la photo, la communication non violente ou même la dentelle.

 C’est à Chamalières que Myriam Gissinger a grandi. C’est là aussi qu’elle a commencé à danser. « J’avais 7 ans, raconte-t-elle. J’ai appris à danser à La Boîte de Jazz, une école de Chamalières. C’était il y a juste 30 ans ! » Après ses premiers pas en modern jazz, Myriam s’est tournée vers d’autres formes de danse. « J’avais 15 ou 16 ans quand mon père m’a emmenée à la maison du Peuple de Clermont pour voir un concours de rock acrobatique. Je me suis dit “si des gamins de 6 ou 7 ans peuvent faire ça, alors je peux le faire aussi, je veux faire pareil”. »

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