Prendre son envol avec Constantin Brancusi, sur Arte.TV

Le film d’Alain Fleischer fait revivre le père de la sculpture moderne, de son village natal roumain de Hobita à l’hommage de Beaubourg (jusqu’au 1er juillet). Brancusi : les métamorphoses de la sculpture, un documentaire disponible sur Arte.TV.

Brancusi vous regarde, gentleman artiste, les bras croisés dans son atelier parisien de l’impasse Ronsin (15e), entouré de ses sculptures. Il est beau comme un marin, visage buriné, gestes réduits à l’efficacité. Le père de la sculpture moderne (1876-1957) laisse les codes de l’art classique et le devoir de ressemblance pour s’envoler vers « l’abstraction, grâce à la mémoire, l’imagination, la stylisation, la métamorphose des formes ». La porte de la maison paternelle – ou sa proche parente car l’originale a brûlé – à Hobita, village au cœur de la Roumanie, renvoie à celle, immense, prêtée par le Mucem à la rétrospective « Brancusi » du Centre Pompidou (jusqu’au 1er juillet).

À découvrir

Tonnelier à 8 ans, apprenti artiste à Craoiva à 18 ans, puis aux Beaux-Arts de Bucarest, diplômé en 1902 (L’Écorché, 1902, première œuvre réalisée avec son professeur d’anatomie, le Dr Garota, exposée à Timisoara à l’automne 2023 dans l’exposition « Brancusi » sur ses sources roumaines). Commence alors la légende dorée qui le fait partir à pied à Vienne, Budapest, Munich, Bâle et Paris. La ville de Rodin sera la sienne jusqu’à sa mort.

Le miracle des images d’archives

Brancusi : les métamorphoses de la sculpture, le film d’Alain Fleischer, se promène lentement dans l’Atelier Brancusi , fruit de son legs à l’État français, espace aménagé en 1997 par Renzo Piano sur la piazza de Beaubourg. C’est déjà de l’histoire ancienne, car cet Atelier Brancusi a déjà été vidé en vue des travaux qui fermeront le musée en 2025.

Il forme, en version démultipliée, le cœur de la rétrospective de Beaubourg, avec une reconstitution à l’identique de l’atelier de l’impasse Ronsin, jusqu’au moindre outil, souvent forgé de ses propres mains. Il ne sera plus jamais tel quel ! Les grands projets du président du Centre Pompidou, Laurent Le Bon, l’imaginent au centre du bâtiment principal, rénové, dit-on, dans son sous-sol repris au parking existant où accéderait une lumière zénithale par le principe de la pyramide inversée. Par le miracle des images d’archives, voici Boltanski qui admire Brancusi en 1973, avant Beaubourg et alors au Palais de Tokyo (il dit « Brancussi », les Roumains disent « Brankouch »).

Réinvention radicale

Ariane Coulondre, commissaire de la rétrospective Brancusi, est la première contemporaine à apparaître à l’écran pour parler de sa réinvention radicale de la sculpture dans cette bouillonnante première moitié du XXe siècle. Son visage si frais se reflète sur le poli du Nouveau-Né de Brancusi. L’esprit de l’artiste habite les lieux. Une guitare, une collection de disques, peu de musique classique. Ni Wagner ni Beethoven, de la musique ethnique et du jazz afro-américain (Beaubourg les expose comme des planètes). Chambre photographique, appareil de projection : photographie et cinéma deviennent les témoins des créations du sculpteur. Le Baiser, premier état de 1907, est présenté à Bucarest en 1910, puis trois ans plus tard, à l’Armory Show de New York. Ce Baiser fait fondre les deux visages qui se partagent les yeux, juste deux cercles, le front, pour ne devenir qu’un symbole. Répétés et alignés, ces visages créent une frise, un motif architectural qui orne La Porte du Baiser, à Târgu Jiu, où Brancusi réalisa, entre 1935 et 1937, un hommage aux soldats roumains de la Première Guerre mondiale en trois monuments. La Colonne sans fin (29,33 m) en est l’obélisque de l’art moderne.

Cette chronique se veut produite de la façon la plus authentique que possible. Dans la mesure où vous décidez d’apporter des précisions concernant le sujet « Jazz à 35 degrets » il est possible de d’échanger avec notre équipe. Le site jazz35.com a pour finalité de publier diverses publications autour du sujet Jazz à 35 degrets communiquées sur la toile. Pour vous faciliter la tâche, jazz35.com vous produit cet article qui aborde le thème « Jazz à 35 degrets ». Consultez notre site jazz35.com et nos réseaux sociaux dans l’optique d’être informé des prochaines parutions.

Du jazz manouche participatif

L’espace associatif Gilbert-Roth a accueilli le duo Swing-Guitares-Swing composé de Hervé Krief et Baptiste Poncelet pour un moment de partage artistique.

Swing-Guitares-Swing a ensorcelé le public limougeaud.  Durant 1 h 30 de pur délice musical, les deux complices, Hervé Krief et Baptiste Poncelet, ont interprété avec talent les classiques intemporels de jazz manouche, revisitant notamment des titres de Django Reinhart comme Swing 48 , Nuage , Tears , de Charles Trenet avec  La Mer , Ménilmontant , ou de Nat King Cole entre autres.

Du Django Reinhart, du Charles Trenet ou encore du Nat King Cole

Ce spectacle théâtralisé a su captiver le public qui s’est pris au jeu, ravi d’être mis à contribution lors de cette soirée magique.

Considéré comme un troubadour moderne, Hervé Krief, artiste multifacettes à la fois musicien, poète et philosophe, trouve dans cet espace une source d’inspiration précieuse pour partager et répandre un peu de joie dans un monde en quête de réconfort.

Pour Hervé Krief, être de nouveau accueilli par René Burget a été un honneur empreint de délicatesse, dans ce lieu de culture et d’échanges où il se sent bien.

Magique

René Burget, l’un des fervents animateurs du lieu, témoigne avec émotion de la magie opérée par Hervé Krief et Baptiste Poncelet qui ont illuminé l’espace associatif Gilbert- Roth de leur art et de leur générosité.

Avec malice ce dernier confiait « que les deux artistes étaient des producteurs de bonheur » et qu’ils avaient « illuminé les lieux ». 

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Eliott Knuets invite son professeur de guitare Peter Hertmans au micro de Brigitte Mahaux

Chaque dimanche de 19h à 20h sur Musiq3, Brigitte Mahaux présente l’émission « Transmission », une heure d’échanges entre des talents en devenir et les musiciens qui les inspirent. Des rencontres intergénérationnelles autour de la transmission du savoir, de l’expérience et de la passion, qui favorise le partage et l’enrichissement réciproque.

Et c’est deux générations de guitaristes belges qui se rencontrent au micro de Brigitte Mahaux. Le transmetteur n’est autre qu’un des grands guitaristes de jazz belge, Peter Hertmans. Le Gantois a partagé la scène et les studios avec la plupart des artistes de jazz en Belgique et transmet son savoir d’Anvers à Bruxelles en passant par Louvain.

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« Courir », marathon électro-jazz sur la scène de la maison du Peuple

D’après le roman de Jean Echenoz, Thierry Romanens et Robert Sandoz racontent l’aventure palpitante du coureur de fond tchèque Emil Zatopek, samedi 27 avril, sur la scène de la maison du Peuple.

Quatre victoires olympiques, un triplé inégalé aux JO d’Helsinki, et dix-huit records du monde du 5 000 mètres au 30 kilomètres.

Premier homme à descendre sous les 29 minutes sur 10 000 mètres (28’ 54”2 à Bruxelles, le 1er juin 1954) et à parcourir plus de vingt kilomètres en une heure (20,052 km), Émil Zatopek (1922-2000) est l’un des plus grands champions de l’histoire.

Née à Kopřivnice, en Moravie, dans une famille de huit enfants, la « locomotive tchécoslovaque » revient faire une escale à Millau sur la scène du théâtre de la Maison du Peuple à l’occasion du spectacle Courir, de Salut la compagnie.

« Un marathon avec un trio électro-jazz »

En amorce du passage de la flamme olympique en mai prochain, Thierry Romanens viendra faire entendre l’aventure d’Émile Zatopek, athlète incomparable et qui pourtant connut la torture des mines d’uranium avant de devenir éboueur, après avoir soutenu Dubcek lors du Printemps de Prague, en 1968…

Son histoire, adaptée ici sur scène en un conte musical moderne – « un marathon avec un trio électro-jazz » – est celle d’un autodidacte qui devint l’homme qui courait le plus vite sur terre pendant une dizaine d’années, inégalé et inégalable, remportant trois médailles d’or en 1952 à Helsinki pour les Jeux olympiques.

Courir. D’après le roman de Jean Echenoz – Thierry Romanens & Robert Sandoz. Durée : 75 minutes. Dès 12 ans. Samedi 27 avril à 20 h 30. Salle Senghor.

Cette chronique se veut produite de la façon la plus authentique que possible. Dans la mesure où vous décidez d’apporter des précisions concernant le sujet « Jazz à 35 degrets » il est possible de d’échanger avec notre équipe. Le site jazz35.com a pour finalité de publier diverses publications autour du sujet Jazz à 35 degrets communiquées sur la toile. Pour vous faciliter la tâche, jazz35.com vous produit cet article qui aborde le thème « Jazz à 35 degrets ». Consultez notre site jazz35.com et nos réseaux sociaux dans l’optique d’être informé des prochaines parutions.

Arnaud Dolmen, le « modernisateur des rythmes caribéens » est de retour

Le Guadeloupéen Arnaud Dolmen revient avec un nouvel album jazz aux sonorités caribéennes, « LéNo ». Un troisième album pour le batteur, en duo avec son ami colombien, le pianiste Leonardo Montana.

C’est dans un café de la gare Saint-Lazare, à Paris, qu’Arnaud Dolmen nous a donné rendez-vous. Le Guadeloupéen arrive depuis un train de banlieue, casque sans fils vissé sur les oreilles. Écoute-t-il de la musique classique ? Aya Nakamura ? Ou un air de gwoka ? Difficile à dire tant le batteur de 38 ans ne veut se ranger dans aucune case. Son troisième album LéNo, pour Leonardo et Arnaud, est paru fin mars. Avec leurs deux instruments, la batterie et le piano, les deux jazzmen parviennent à créer un univers sonore unique, aux rythmes caribéens de leur enfance. 

Leonardo Montana est né en Bolivie, a vécu au Brésil et en Guadeloupe. Arnaud Dolmen est Guadeloupéen. Ils se sont rencontrés il y a quinze ans, à Paris. « On passe beaucoup de temps ensemble », s’amuse Arnaud Dolmen. Lorsqu’il débarque à Paris en 2009 après des études de comptabilité à Toulouse, Arnaud Dolmen veut faire de la musique son métier. C’est lors d’une répétition à l’occasion du démarrage d’un groupe de jazz qu’il rencontre « Léo ».

Les deux hommes se rapprochent immédiatement. « On a eu pas mal de moments où on était tous les deux sidemans [musiciens accompagnant des artistes de jazz, ndlr]. À la fin des répétitions, on se retrouvait souvent tous les deux, on nous surnommait les ‘tranquille, tranquille’, par ce qu’on leur disait toujours ‘tranquille, tranquille’. » Mêmes références, même humour, leur amitié est aussi musicale. Alors, quand l’occasion se présente de monter un duo, ils n’hésitent pas. « On a cette même passion pour le travail de l’instrument, pour la rigolade, pour les blagues, récite Arnaud Dolmen. Je pense que ça s’entend aussi dans la musique.« 

Durant les trois dernières années, Arnaud Dolmen s’est fait une place de choix dans le milieu assez fermé du jazz. Victoire du Jazz 2022, Meilleure révélation de l’année par Jazz Magazine et finaliste du prix Django Reinhardt, le percussionniste glane les récompenses de haut vol. En grand timide, il rougit presque lorsque les journaux spécialisés le présente comme un « modernisateur de rythmes caribéens ». « Je remercie les étoiles, le ciel, de me donner cette inspiration, ironise-t-il. C’est vrai que je suis toujours à la recherche de nouveautés. J’essaye de me surprendre tout le temps. Et à partir de ça, j’essaye de le reproduire sur mon instrument. » 

Les sonorités de la Caraïbe sont partout dans son travail. En spécialiste de la musique traditionnelle guadeloupéenne, il s’efforce de transporter le gwoka dans l’univers du jazz. « Le gwoka, c’est la musique de la Guadeloupe historique, aime se remémorer ce passionné. Tous les Guadeloupéens en entendent, qu’ils le veuillent ou non. Pour la joie, la tristesse ou juste pour l’écoute. C’est une manière de communiquer. L’art, ce sont des paroles, mais ce sont aussi des instruments, et le gwoka c’est vraiment tout ça. » 

Après plus de dix ans de carrière, c’est toujours le jazz qui fait vibrer Arnaud Dolmen. « Je fais ce style de musique parce que c’est ce qui m’habite, me nourrit, me rend joyeux. Après, quand j’arrive à faire passer le message et que je vois que c’est compris là, ça me fait du bien.« . Il nous confie tout de même avoir monté un nouveau groupe de groove et ne veut vraiment pas fermer ses horizons, au contraire. Il admire notamment Aya Nakamura pour son culot et aimerait que le jazz soit plus populaire dans les jeunes générations. Peu importe le chemin que prendra sa musique, Arnaud Dolmen l’assure, la Guadeloupe sera avec lui. « C’est vraiment là-bas que mon âme est »

Cette chronique se veut produite de la façon la plus authentique que possible. Dans la mesure où vous décidez d’apporter des précisions concernant le sujet « Jazz à 35 degrets » il est possible de d’échanger avec notre équipe. Le site jazz35.com a pour finalité de publier diverses publications autour du sujet Jazz à 35 degrets communiquées sur la toile. Pour vous faciliter la tâche, jazz35.com vous produit cet article qui aborde le thème « Jazz à 35 degrets ». Consultez notre site jazz35.com et nos réseaux sociaux dans l’optique d’être informé des prochaines parutions.

Arnaud Dolmen, le « modernisateur des rythmes caribéens »

Le Guadeloupéen Arnaud Dolmen revient avec un nouvel album jazz aux sonorités caribéennes, « LéNo ». Un troisième album pour le batteur, en duo avec son ami bolivien, le pianiste Leonardo Montana.

C’est dans un café de la gare Saint-Lazare, à Paris, qu’Arnaud Dolmen nous a donné rendez-vous. Le Guadeloupéen arrive depuis un train de banlieue, casque sans fils vissé sur les oreilles. Écoute-t-il de la musique classique ? Aya Nakamura ? Ou un air de gwoka ? Difficile à dire tant le batteur de 38 ans ne veut se ranger dans aucune case. Son troisième album LéNo, pour Leonardo et Arnaud, est paru fin mars. Avec leurs deux instruments, la batterie et le piano, les deux jazzmen parviennent à créer un univers sonore unique, aux rythmes caribéens de leur enfance. 

Leonardo Montana est né en Bolivie, a vécu au Brésil et en Guadeloupe. Arnaud Dolmen est Guadeloupéen. Ils se sont rencontrés il y a quinze ans, à Paris. « On passe beaucoup de temps ensemble », s’amuse Arnaud Dolmen. Lorsqu’il débarque à Paris en 2009 après des études de comptabilité à Toulouse, Arnaud Dolmen veut faire de la musique son métier. C’est lors d’une répétition à l’occasion du démarrage d’un groupe de jazz qu’il rencontre « Léo ».

Les deux hommes se rapprochent immédiatement. « On a eu pas mal de moments où on était tous les deux sidemans [musiciens accompagnant des artistes de jazz, ndlr]. À la fin des répétitions, on se retrouvait souvent tous les deux, on nous surnommait les ‘tranquille, tranquille’, par ce qu’on leur disait toujours ‘tranquille, tranquille’. » Mêmes références, même humour, leur amitié est aussi musicale. Alors, quand l’occasion se présente de monter un duo, ils n’hésitent pas. « On a cette même passion pour le travail de l’instrument, pour la rigolade, pour les blagues, récite Arnaud Dolmen. Je pense que ça s’entend aussi dans la musique.« 

Durant les trois dernières années, Arnaud Dolmen s’est fait une place de choix dans le milieu assez fermé du jazz. Victoire du Jazz 2022, Meilleure révélation de l’année par Jazz Magazine et finaliste du prix Django Reinhardt, le percussionniste glane les récompenses de haut vol. En grand timide, il rougit presque lorsque les journaux spécialisés le présente comme un « modernisateur de rythmes caribéens ». « Je remercie les étoiles, le ciel, de me donner cette inspiration, ironise-t-il. C’est vrai que je suis toujours à la recherche de nouveautés. J’essaye de me surprendre tout le temps. Et à partir de ça, j’essaye de le reproduire sur mon instrument. » 

Les sonorités de la Caraïbe sont partout dans son travail. En spécialiste de la musique traditionnelle guadeloupéenne, il s’efforce de transporter le gwoka dans l’univers du jazz. « Le gwoka, c’est la musique de la Guadeloupe historique, aime se remémorer ce passionné. Tous les Guadeloupéens en entendent, qu’ils le veuillent ou non. Pour la joie, la tristesse ou juste pour l’écoute. C’est une manière de communiquer. L’art, ce sont des paroles, mais ce sont aussi des instruments, et le gwoka c’est vraiment tout ça. » 

Après plus de dix ans de carrière, c’est toujours le jazz qui fait vibrer Arnaud Dolmen. « Je fais ce style de musique parce que c’est ce qui m’habite, me nourrit, me rend joyeux. Après, quand j’arrive à faire passer le message et que je vois que c’est compris là, ça me fait du bien.« . Il nous confie tout de même avoir monté un nouveau groupe de groove et ne veut vraiment pas fermer ses horizons, au contraire. Il admire notamment Aya Nakamura pour son culot et aimerait que le jazz soit plus populaire dans les jeunes générations. Peu importe le chemin que prendra sa musique, Arnaud Dolmen l’assure, la Guadeloupe sera avec lui. « C’est vraiment là-bas que mon âme est »

Cette chronique se veut produite de la façon la plus authentique que possible. Dans la mesure où vous décidez d’apporter des précisions concernant le sujet « Jazz à 35 degrets » il est possible de d’échanger avec notre équipe. Le site jazz35.com a pour finalité de publier diverses publications autour du sujet Jazz à 35 degrets communiquées sur la toile. Pour vous faciliter la tâche, jazz35.com vous produit cet article qui aborde le thème « Jazz à 35 degrets ». Consultez notre site jazz35.com et nos réseaux sociaux dans l’optique d’être informé des prochaines parutions.

Landes : le festival Jazz in Sanguinet a perdu son homme-orchestre, Serge Diedrich

Le monde du jazz pleure l’un de ses apôtres. L’homme-orchestre du festival Jazz in Sanguinet, Serge Diederich, s’en est allé, affaibli par la maladie, jeudi 18 avril, à 88 ans.

Dans les années 1950, adolescent…

Le monde du jazz pleure l’un de ses apôtres. L’homme-orchestre du festival Jazz in Sanguinet, Serge Diederich, s’en est allé, affaibli par la maladie, jeudi 18 avril, à 88 ans.

Dans les années 1950, adolescent, le petit Parigot, « libre comme l’air », écumait tous les clubs de jazz de la capitale, dont le fameux Caveau de la Huchette, captivé par cette musique qui symbolisait pour lui « la revendication, l’imagination ».

Dix ans plus tard, ce jeune homme au profil artistique a frotté ses semelles sur les planches du théâtre, dans la troupe du Chatelet, à Paris, pour quelques opérettes. Dans la foulée, il sera engagé dans de petits rôles au cinéma, aux côtés de grands acteurs tels que Brigitte Bardot, Alain Delon, Jean-Claude Briali, etc.

Grâce à cette carrière artistique, Serge Diedrich remplira les premières pages de son carnet d’adresses, avant de tout abandonner, par amour et par défi, pour une nouvelle vie dans le commerce de décoration et d’ameublement. Il créera plusieurs magasins, tout en gardant des rapports avec le milieu des artistes.

Obsèques le 25 avril

Las de la vie trépidante parisienne, il pose ses valises à Sanguinet en 1995, renouant ainsi avec ses racines familiales. Régulièrement, il reprendra la route, pour filer vers les temples jazzy de Paris, Bordeaux, ou les festivals de l’Hexagone.

Pour tous, il était devenu Sergio, la voix de Fréquence Grands Lacs, chroniqueur de jazz volubile et passionné. De là, il crée Jazz Center Nord Landes, une école de jazz et de musique moderne, qui donnera naissance à un orchestre. En 1999, l’infatigable Sergio programme une journée thématique sur le jazz lors des fêtes locales avant de créer, en 2000, le premier festival Jazz in Sanguinet, dont il devient le directeur artistique.

Ce festival, qui a vu défiler des grands noms de la spécialité, était sa fierté. En juillet prochain, la 24e édition du rendez-vous devrait rendre un vibrant hommage à son créateur, figure de Sanguinet.

Ses obsèques auront lieu, jeudi 25 avril, à 15 h 30, en l’église Saint-Sauveur.

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Caussade. Le Planète Swing Big Band en ciné-concert

L’orchestre Planète Swing Big Band donnera un concert dimanche 28 avril à 18 heures au cinéma-théâtre de Caussade, suivi d’une petite collation à 19 h 15 et de la projection à 20 heures du film « They shot the piano player », film d’animation / thriller de Fernando Trueba, Javier Mariscal sur un pianiste de jazz. Synopsis : Un journaliste de musique new-yorkais mène l’enquête sur la disparition, à la veille du coup d’État en Argentine, de Francisco Tenório Jr, pianiste brésilien virtuose. Tout en célébrant le jazz et la Bossa Nova, le film capture une période éphémère de liberté créatrice, à un tournant de l’histoire de l’Amérique Latine dans les années 60 et 70, juste avant que le continent ne tombe sous le joug des régimes totalitaires.

Le Planète Swing Big Band est un grand orchestre de jazz de dix-huit musiciens et un chanteur, placés sous la direction de Sébastien Castagné. L’orchestre se produit régulièrement dans la région, dans diverses salles de spectacle ainsi qu’à l’occasion de festivals. L’orchestre respecte la forme traditionnelle des big bands, ces ensembles très populaires aux États-Unis pendant l’entre-deux-guerres. L’orchestre est composé d’une section cuivres avec saxophones, trombones, trompettes et d’une section rythmique. Le Planète Swing Big Band propose un programme varié qui traverse les diverses périodes et influences du jazz, depuis ses débuts à la Nouvelle-Orléans où il a pris ses racines dans le blues, jusqu’au jazz fusion qui emprunte aux styles rock et funk, sans oublier les grands standards de la période dite du jazz swing. Plusieurs morceaux seront chantés par Fabian Ballarin dont la voix fera voyager le public depuis les grands thèmes des crooners américains jusqu’au jazz plus moderne d’Electro Deluxe. Tarif : concert et film 12 €, concert seul 8 €, film seul aux tarifs habituels. Internet : caussade.veocinemas.fr

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Concarneau. Tamm Kreiz lance ses stages de danse, samedi


Mardi 23 avril 2024 05:00

photo l’an dernier, la pièce « tumbalalaika » créée par audrey rocha avait enthousiasmé le public. 1

L’an dernier, la pièce « Tumbalalaika » créée par Audrey Rocha avait enthousiasmé le public. © Archives Ouest-France

Tamm Kreiz propose des stages de danse modern jazz avec Audrey Rocha, samedi, à la Ferme du Moros. La danseuse vient de l’institut de formation professionnelle Rick Odums à Paris et du Jacob’s Pillow aux États-Unis.

 Audrey est une danseuse pluridisciplinaire, elle travaille dans de nombreuses compagnies comme Les Ballets Jazz Rick Odums, Choreonyx de Bruce Taylor, indique Jennifer Garo, chargée de développement culturel de Tamm Kreiz. En plus d’assister de grands noms comme Bruce Taylor ou Roberta Fontana, l’artiste a créé sa compagnie Areysha Dance Company. » Après être intervenue une vingtaine d’heures avec les élèves de l’atelier de Justine Jaffré, professeure de danse Concarnoise pour une création chorégraphique intitulée Women, Audrey Rocha vient proposer des stages ouverts à tous, samedi : un stage technique de danse modern jazz, de 10 h 30 à 12 h 30, et un stage dédié à la création chorégraphique de tous niveaux, de 13 h 30 à 15 h 30.

Stage de danse modern jazz, samedi, à la Ferme du Moros. Renseignements via coordination.tammkreiz.danse@gmail.com ou au 02 98 82 62 55.

Ouest-France  

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L’école de danse brestoise Studio e décroche six qualifications pour le National à Paris

Le samedi 20 avril 2024, les danseurs modern jazz, contemporain et classique de l’école de danse brestoise Studio e ont participé au concours organisé par Dance AREA Competition, à Plédran (22). Il s’agissait d’une première pour cette nouvelle organisation.

Studio e a obtenu six qualifications : en classique, Flavy Le Merrer Carpentier avec une étoile d’or ; en contemporain, Célia Prato avec une étoile d’argent, puis en jazz, Charlotte Marietta et Lyna Bihan Poudec, avec chacune une étoile d’or en solo jazz et une seconde pour leur duo. Le groupe des Kids (Amaury Ratajczak, Charlotte Marietta, Juliette Pouliquen, Louise Bihan Borel, Lyna Bihan Poudec, Marie Coton, Valentine Landréat et Violette Bernard Lemasle), âgés de 9 à 11 ans, a reçu une étoile d’argent, en interprétant « La danse des canards ».

Rendez-vous début juillet à Paris

Les professeurs et coach, Audrey Koper, Jeanette Moréno Silva et Titouan Rioual-Belbéoch, étaient pleinement satisfaits.

Rendez-vous est pris pour tous ces danseurs, les 6 et 7 juillet 2024, au Théâtre du Gymnase, à Paris.

Contact

École de danse Studio e, tél. 06 72 81 42 31.

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